Le candidat déclaré à la l’élection présidentielle de 2024 à été condamné jeudi à peine 2 mois avec sursis pour diffamation.
Le juge l’a relaxé pour les délits d’usage de faux et usage de faux et d’injures publiques.
Toutefois, avec cette condamnation, le leader de Pastef conserve son éligibilité. En effet di Sonko avait été condamné à « plus de trois mois d’emprisonnement sans sursis ou à une peine d’emprisonnement d’une durée supérieure à six mois avec sursis », il aurait pu être retiré des listes électorales « pour une durée de cinq ans ».
Il faut noter que le ministère public avait requis, une peine de prison de deux ans dont un ferme contre Ousmane Sonko.
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