“S’il n’y allait pas (Déclaration de politique générale), ce serai trahir la parole du chef de l’Etat qui, par écrit, a décidé que son Premier ministre aller faire cette présentation. Et la majorité parlementaire qui avait bataillé ferme contre la tenue de la Dpg au delà du 12 septembre, a semblé donné droit à la décision du président de la République. Donc, je ne vois pas comment et pourquoi le Pm Ousmane Sonko pourrait aller en contre courant de ce qui relève d’une tradition Républicaine”, a-t-il, ce dimanche l’émission Grand jury de la RFM.
“Je ne pense pas, note-t-il, que le chef de l’Etat, qui a déjà donné sa parole pour le 13 septembre, irait jusqu’à ce déjuger pour dissoudre l’Assemblée nationale le 12 septembre”.
Pour lui, ”ce serait une manœuvre politicienne trop grosse qui ne passerait ni dans l’opinion ni dans les règles de la démocratie”.
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