“Il faut que les gens comprennent que l’État doit prendre ses responsabilités face à cette situation de récurrence des accidents de la circulation”, a rappelé Ousmane Sonko, pour qui, en plus du facteur humain, de la vétusté des véhicules et des problèmes d’infrastructures, la corruption et le défaut de collaboration entre les différents services font partie des principales causes des accidents de la circulation.
Pour lui, les accidents de la circulation sont devenus très récurrents et entrainent beaucoup de perte en vies humaines.
Il note que désormais, chaque accident sera évalué. “Nous allons demander des comptes et les responsabilités seront situées”, a-t-il lors d’un Conseil interministériel consacrée à la problématique des accidents de la circulation.
Il a invité tous les acteurs et responsables du secteur à mieux veiller au respect strict des mesures dans leurs services respectifs et demandé aux forces de défense et de sécurité d’être plus vigilants sur les contrôles.
Sonko a fixé aussi un ultimatum au 30 septembre aux services du ministère des transports afin de présenter une évaluation exhaustif des mesures précédemment prises par l’ancien régime.
Il a aussi dit : “il y a plus d’accidents impliquant des motos Jakarta que des voitures. Les motos jaakarta, qui constituent des emplois de masse, nécessitent une certaine souplesse, mais il est impératif de respecter les mesures sécuritaires”.
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