Mort en salle d’accouchement de Ndèye Astou : Adji Mergane Kanouté crie son mal

Partager l'article

J’ai eu profondément mal quand des sages-femmes ont initié des marches pour dire stop à de soi disants violences à leur endroit. J’ai eu profondément mal car les victimes de la plupart de ce corps de métier ce sont, nous les femmes et non les professionnelles.

Oui nous nous faisons agresser par nos propres sœurs qui nous doivent assistance, compassion dans les moments d’incertitude. Oui la délivrance est un moment d’incertitude.

L’accouchement peut mener à la vie ou à la mort. Ce qui est arrivé à cette brave dame, pouvait m’arriver en 2007 quand je donnais naissance à ma fille. N’eut été le « Yeurmandey » d’un homme, oui je dis bien d’un homme gynécologue qui était venu accoucher une de ces patientes, je serais aujourd’hui passer de vie à trépas pour négligence et méchanceté.

Cela se passa dans une clinique pour dire simplement que de tels « drames » se passent aussi bien dans les hôpitaux que les cliniques.

Nous devons nous interroger sur le pourquoi aujourd’hui, les femmes enceintes préfèrent être suivies tout le long de leur grossesse par des hommes Gyneco… Pourquoi la méchanceté se féminise de nos jours ?

Je pense que les femmes sociologues et psychologues devraient se pencher sur ce fléau et que des solutions puissent être trouvées.

Repose en paix chère sœur

Soyez le premier à commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*