Cabale politique ou règlement de compte ou simplement coïncidence ? Une dame du nom de A. Sarr, âgée d’une vingtaine d’années, accuse Ousmane Sonko, leader de Pastef/Les patriotes de viols et de menaces de mort ».
« Devant mon refus d’assouvir ses pulsions, il m’a un jour étranglée et contrainte à des rapports sexuels avec lui. Confuse et reprise de honte, j’ai voulu garder le silence sur cet acte mortifiant, en espérant que cela ne se reproduise pas. Mal m’en a pris puisqu’il revient régulièrement et me contraint d’avoir des relations sexuelles avec lui, et cela sous la menace de me faire disparaître de la surface de la terre compte tenu de sa toute puissance et de sa position dans le pays », écrit-elle. Des propos repris par le journal Les Echos.
La plaignante a déposé à une plainte, à la Section de recherche de la gendarmerie de Colobane le 2 février dernier, contre le candidat à la dernière élection présidentielle. Le journal Les Echos qui rapporte l’information, souligne que la présumée victime travaillant dans un salon de massage sis au Sacré-Cœur 3, a été longuement auditionnée à deux reprises par les enquêteurs de la Section de recherches. Elle aurait même été que la plaignante a été envoyée chez un spécialiste pour des prélèvements.
Vrai ou faux, Ousmane Sonko saura donner sa version. Pour le moment, le jeune leader politique joint par le journal soutient n’avoir été informé d’aucune plainte à son encontre.
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