L’étudiante Seynabou Ka Diallo a été mise sous terre avant-hier mais l’enquête sur son meurtre ne traine pas. Mise en branle sur la mort de cette pensionnaire de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, la Gendarmerie de Saint-Louis a mis les bouchées double.
Ainsi après l’arrestation et le placement en garde-à-vue du petit ami de la défunte, P. Y. Seck, auteur présumé du meurtre, les pandores ont pu tirer de précieuses indications.
Le journal L’Observateur souligne que le mis en cause a déclaré que les faits se sont produits dans sa chambre au campus de l’UGB. Il a reconnu avoir tué Seynabou Kâ Diallo par strangulation avant de jeter le corps à Ndiawdoun, à cinq kilomètres de l’UGB.
Quid du mobile ? Une affaire d’avortement, rapporte L’Observateur, qui est largement revenu sur cette affaire dans son édition de ce mercredi. Le journal n’a cependant pas donné plus de détails sur ce point.
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