Seuls quatre proches de la famille ont pu assister à la cérémonie entre le journaliste et sa compagne. Les soutiens du détenu s’étaient réunis, eux, à l’extérieur de l’établissement pénitentiaire.
L’Australien de 50 ans est accusé d’avoir fait fuiter des documents sur les guerres en Irak et en Afghanistan et risquerait des dizaines d’années de prison aux États-Unis s’il était extradé. Son sort repose désormais entre les mains de Priti Patel, la ministre de l’Intérieur britannique. Selon les avocats de Julian Assange, il reste encore un dernier espoir : contester d’autres questions de droit qui n’ont pas encore fait l’objet d’un appel.
Il y a dix jours, la plus haute juridiction britannique a rejeté l’appel contre l’extradition vers les États-Unis formé par le fondateur de WikiLeaks, une décision qui « le pousserait au suicide », avait alors déclaré sa compagne.
Soyez le premier à commenter