Dans sa question économique hebdomadaire, Mamadou Lamine Diallo, leader du mouvement pour l’émergence citoyenne/Tekki, a déclaré que Massalikoul Jinane, une œuvre qui valorise la peau noire, va contribuer au renforcement de l’économie sénégalaise.
«Outre Atlantique, certains estiment que l’épargne des Sénégalais demandeurs d’aide publique au développement ne doit pas servir à construire des mosquées. D’abord il est bon de rappeler que c’est l’élite politique qui demande l’aide publique au développement (APD) de connivence avec les élites occidentales. Et en vérité, sur 50 milliards de dollars d’engagements par an d’APD, 40% sont décaissés et dans ce montant 80% reviennent aux entreprises des pays donateurs. En définitive, les pays obtiennent 4 milliards de dollars et les 20% passent dans la trappe de la corruption pour alimenter les flux financiers illicites. Au total, les populations reçoivent 3, 2 milliards de dollars par an. Pour le Sénégal plus « aidé », cela fait 30 milliards de FCFA par an. En face les flux financiers illicites de l’Afrique vers les pays donateurs sont de 60 milliards de dollars et pour le Sénégal, 250 à 300 milliards de FCFA par an. Le peuple sénégalais reçoit 30 et paie 300, un rapport de un à 10.
Massalikoul Jinane dans le quartier de Bopp (la tête) de Dakar va consolider la société de confiance et notre capital social. Les valeurs de travail et de solidarité prônées par Serigne Touba seront raffermies et notamment le respect des Anciens. A cet égard, l’Association des retraités civils et militaires créée en 1963 mérite plus d’égard de la République. En attendant la création d’une délégation générale aux personnes âgées, Macky Sall pourra recevoir cette association d’utilité sociale aujourd’hui et publique demain après l’inauguration du Chef d’Œuvre dédié à l’un des ouvrages majeurs de Serigne Touba».
Auparavant, le député avait soutenu, il a soutenu que dans le cadre du dossier Ressources naturelles : Les familles religieuses peuvent aider à la gouvernance démocratique du gaz.
Il faut le marteler, le capital social est le plus déterminant des quatre types de capitaux ; les trois autres étant le capital technique, le capital humain et le capital naturel. Chez Macky Sall, tout est infrastructure, traduisant plutôt un capital technique mal réalisé comme le prouvent les inondations dues à l’incapacité de Mansour Faye, dauphin caché de la Famille FayeSall, la carte Alioune Sall étant défaite par le scandale du Gaz.
Le capital social, ce sont les institutions que se donnent les peuples pour gérer les règles à même d’assurer la confiance dans la société. Celles-ci ne se limitent pas uniquement aux institutions de la république décrites dans la constitution. Dans le cas des hydrocarbures, Macky Sall veut nous enfermer dans le cospetrogaz dans lequel des strapontins seront prévus pour l’opposition de collaboration et la société civile à sa botte. Il n’y aura aucune transparence, en contrepartie, Macky Sall pourra distribuer (thiompal) un peu de la rente au soi disant chef de l’opposition. Comment Macky Sall peut aller signer à Nouakchott le document le plus important de l’exploitation du gaz le 21 décembre 2018, après un ultimatum de BP, sans l’avis du peuple à qui appartient le gaz naturel ? De surcroît, son gouvernement refuse de donner ce document aux députés.
Le capital social, ce sont les institutions que se donnent les peuples pour gérer les règles à même d’assurer la confiance dans la société. Celles-ci ne se limitent pas uniquement aux institutions de la république décrites dans la constitution. Dans le cas des hydrocarbures, Macky Sall veut nous enfermer dans le cospetrogaz dans lequel des strapontins seront prévus pour l’opposition de collaboration et la société civile à sa botte. Il n’y aura aucune transparence, en contrepartie, Macky Sall pourra distribuer (thiompal) un peu de la rente au soi disant chef de l’opposition. Comment Macky Sall peut aller signer à Nouakchott le document le plus important de l’exploitation du gaz le 21 décembre 2018, après un ultimatum de BP, sans l’avis du peuple à qui appartient le gaz naturel ? De surcroît, son gouvernement refuse de donner ce document aux députés.
Dossier Ressources naturelles : Les familles religieuses peuvent aider à la gouvernance démocratique du gaz.
Il faut le marteler, le capital social est le plus déterminant des quatre types de capitaux ; les trois autres étant le capital technique, le capital humain et le capital naturel. Chez Macky Sall, tout est infrastructure, traduisant plutôt un capital technique mal réalisé comme le prouvent les inondations dues à l’incapacité de Mansour Faye, dauphin caché de la Famille FayeSall, la carte Alioune Sall étant défaite par le scandale du Gaz.
Le capital social, ce sont les institutions que se donnent les peuples pour gérer les règles à même d’assurer la confiance dans la société. Celles-ci ne se limitent pas uniquement aux institutions de la république décrites dans la constitution. Dans le cas des hydrocarbures, Macky Sall veut nous enfermer dans le cospetrogaz dans lequel des strapontins seront prévus pour l’opposition de collaboration et la société civile à sa botte. Il n’y aura aucune transparence, en contrepartie, Macky Sall pourra distribuer (thiompal) un peu de la rente au soi disant chef de l’opposition. Comment Macky Sall peut aller signer à Nouakchott le document le plus important de l’exploitation du gaz le 21 décembre 2018, après un ultimatum de BP, sans l’avis du peuple à qui appartient le gaz naturel ? De surcroît, son gouvernement refuse de donner ce document aux députés.
Dans ce contexte sénégalais de présidentialisme obscur pour le moins, dans lequel l’assemblée nationale joue un rôle de faire valoir, l’existence d’institutions sociales comme les familles religieuses et l’église est une chance pour aller vers la gouvernance démocratique des ressources minérales. Al Amin de Tivaouane, deux ans déjà, nous avait gratifié, après une visite des mines du département, d’un exposé très instructif à cet égard en mettant en relief les attentes des populations. Si l’élite politique comprend la signification des institutions sociales, nous aurons moins de difficultés à écrire l’histoire contemporaine du Sénégal.
Mamadou Lamine Diallo, Président du mouvement Tekki.
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