LE PLUS MODESTE citoyen, fut-il le moins porté à suivre l’actualité, peut témoigner que depuis une dizaine d’années la société sénégalaise est fréquemment secouée par des scandales récurrents heurtant nos bonnes mœurs, relativement à de sulfureuses affaires de PÉDOPHILIE, de VIOL, d’ACTES CONTRE-NATURE. Dont le plus retentissant fut la scandaleuse célébration de 11 mariages entre personnes de même sexe, de surcroît lors de la nuit bénie du Mawloud, le 25 décembre 2015, marquant la naissance du Prophète Mouhammad d’Allah (psl). Auquel se référent 95% des croyants de notre cher pays. Lequel ne rendra jamais suffisamment grâce à Dieu, de receler en son sol de grandes figures de l’Islam.
LORSQUE le Khalife de Médina Baye, à Kaolack, terre bénie où repose Cheikhal Islam Mawlana El Hadji Ibrahima Niasse, et qui fut le théâtre de ces inadmissibles frasques homosexuelles, a exprimé publiquement son exaspération, nombre de ses pairs ont légitimement considéré qu’il n’y avait pas voix mieux indiquée pour se faire l’écho de la douleur ressentie dans toutes les cités religieuses, suite à cette énième agression des croyants de ce pays dans ce qu’ils ont de plus cher : LEUR FOI.
D’AUTANT que les adeptes de ces actes contre-nature ne semblent plus se fixer de frontière, ni s’encombrer de retenues pour donner libre cours à leurs déviances. Tant est si bien que le Sénégal est en passe de se muer en véritable champs libre de frasques homosexuelles. En s’offrant en mauvais exemple à une jeunesse déjà suffisamment éprouvée dans ses pertes de repères.
ISSU de la loi 66-16 du 12 février 1966, l’article 319 du Code pénal sénégalais, qui réprime les actes contre-nature, fait malheureusement aujourd’hui l’objet de DÉNATURATION, voire d’INTERPRÉTATIONS TENDANCIEUSES, paraissant accréditer l’argument selon lequel le terme «homosexualité» n’y est pas spécifiquement mentionné.
EN STRUCTURANT cette loi pénale, le Législateur sénégalais – à l’instar de son homologue du CODE CIVIL FRANÇAIS, qui BANNIT LA POLYGAMIE -, a voulu légitimement se faire le reflet des convictions religieuses de l’écrasante majorité des 98% des croyants de la société sénégalaise, catholiques et musulmans confondus, dont les Textes de référence rejettent unanimement le GORDJIGUÉNISME, en tant que pratique nocive pour l’individu et la société.
UNE DÉVIANCE sexuelle qui, en sus d’être bannie par ces religions monothéistes (16 “fatwa” dans le Saint Coran, précédés du Lévitique de la Chrétienté, dont le chapitre 18, verset 22 est sans équivoque : «Coucher avec un homme comme on couche avec une femme est une abomination»), s’avère porteuse de pernicieux effets collatéraux, préjudiciables même à la Santé publique.
EN EFFET, là où l’Organisation mondiale de la santé (OMS) félicite souvent notre pays pour son appréciable taux de prévalence du Vih-Sida (0,7% au niveau de la population générale), en raison notamment d’un bon niveau de préservation des valeurs morales et des bonnes mœurs; les statistiques officielles de l’Etat du Sénégal, à travers le Comité national de lutte contre le sida (CNLS), annonce que la communauté homosexuelle sénégalaise a franchi le cap alarmant de 27% de séropositifs ! Confirmant la menace inquiétante que constitue l’expansion de cette déviance pour la Santé publique, en tant que vecteur incontestable de propagation du Sida!
LE RASSEMBLEMENT populaire inédit du 23 mai dernier à la Place de la Nation, initié par le collectif AND SÀMM JIKKO-YI (dont JAMRA est membre-fondateur), est suffisamment illustratif de la préoccupation de l’écrasante majorité des Sénégalais, relativement à l’expansion de ce fléau des unions contre-nature sur notre sol.
L’ONG ISLAMIQUE JAMRA et l’Observatoire de veille et de défense des valeurs culturelles et religieuses, MBAÑ GACCE, adressent leurs fraternelles CONGRATULATIONS au Coordonnateur de notre coalition AND SÀMM JIKKO-YI, Imam Ababacar Mboup, dont la tournée nationale de sensibilisation auprès des Cités religieuses du Sénégal s’est avérée fructueuse, pour avoir produit des résultats au-delà de nos attentes. La pétition nationale EXIGEANT un renforcement des sanctions pénales contre les frasques provocatrices des adeptes du GORDJIGUÉNISME, ayant recueilli d’éminentes signatures.
JAMRA SALUE la détermination des Khalifes généraux des Villes Saintes de Touba et de Tivaouane, Serigne Mountakha Mbacké Bachir et Serigne Babacar Sy Mansour qui, en sus d’avoir personnellement paraphé la pétition nationale, ont pris soin d’y annexer leurs “exposés des motifs”, traduisant ainsi leur ADHÉSION TOTALE à la PROPOSITION DE LOI DE AND SÀMMJIKKO-YI, portant renforcement des sanctions pénales contre les auteurs d’actes contre-nature, en CRIMINALISANT carrément le délit.
IL S’AGIRA surtout d’amender l’article 319 du Code pénal, pour qu’il ne prête plus à équivoque. En précisant notamment, dans sa nouvelle mouture, la nature même des infractions visées, que sont :
– L’HOMOSEXUALITÉ,
– LE LESBIANISME,
– LA ZOOPHILIE,
– LA NÉCROPHILIE…
Et assimilés.
FERMANT ainsi définitivement la porte aux MANOEUVRES CONFUSIONNISTES, tendant à dédouaner ces déviances, à travers un JURIDISME DE MAUVAIS ALOI !
MENTION SPÉCIALE AUX HONORABLES DEPUTES Mamadou Lamine Diallo, Cheikh Bamba Diéye, Moustapha Guirassy, Aliou Souaré qui, convaincus de la pertinence de cette proposition de loi, allant dans le sens d’une meilleure préservation de nos valeurs socio-culturelles, se l’ont parfaitement appropriée pour la porter et la défendre à l’Hémicycle. Afin qu’il soit mis un terme définitif aux frasques à répétition des valets des lobbies LGBT, qui ne cessent de fouler publiquement au pied nos valeurs sociétales. Ainsi que les lois qui régissent notre vie communautaire.
SURTOUT depuis que le comble a été atteint lorsqu’un COUPLE D’HOMOSEXUELS, S.D. 30 ans et S.S. 29 ans, eut l’outrecuidance de profaner ce haut lieu de culte qu’est la Grande Mosquée de Dakar, où ils ont été pris en FLAGRANT DÉLIT de pratique de leurs actes abominables, dans nuit du 23 novembre 2020, par le vigile en faction. LE RENFORCEMENT des sanctions pénales contre les provocations récurrentes des suppôts des lobbies LGBT est devenu UNE DEMANDE SOCIALE au Sénégal. Il appartient à présent aux parlementaires, censés incarner la légitimité populaire, de jouer leur partition.
JAMRA et MBAÑ GACCE exhortent les populations à redoubler de vigilance à l’égard de la Représentation nationale. Et invitent les électeurs à SANCTIONNER négativement, lors des prochaines Législatives, tout député qui S’ABSTIENDRA DE VOTER CETTE LOI, qui a déjà reçu la BÉNÉDICTION de TOUS LES KHALIFES GÉNÉRAUX du Sénégal. Mais également des leaders des religions traditionnelles du Bois Sacré.
IL EST ÉVIDENT que les LOBBIES LGBT, revigorés par leur dernier fait d’arme au Gabon, où ils ont réussi à faire légaliser l’homosexualité par l’Assemblée nationale, le 23 juin 2020, et par le Sénat gabonais, le 29 juin, sont déterminés à venir à bout de la légendaie RÉSISTANCE SÉNÉGALAISE, en ne laissant pas prospérer cette salutaire proposition de loi. Mais le Vaillant Peuple Sénégalais, imbu de ses valeurs traditionnelles que lui ont généreusement léguées ses vaillants ancêtres et les grandes figures religieuses qui reposent en terre sénégalaise, est DÉTERMINÉ à leur montrer que LE SÉNÉGAL APPARTIENT AU PEUPLE SENEGALAIS ! Et que l’AGENDA maçonnique des lobbies LGBT ne sera JAMAIS agréé sur cette bénie où reposent Bamba, Maodo, Baye Niasse, Baye Laye, incha Allah.
Le combat continue.
Bureaux exécutifs de
JAMRA et MBAÑ GACCE
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