« Quels que soient les accords que l’on produira, il faudrait que les pouvoirs publics tiennent compte de deux choses. Le poisson, c’est un produit que l’on mange mais aussi qui nourrit des familles. La pêche occupe une place importante dans notre économie. Il faudrait que l’Etat sénégalais révise ses accords. Voir si c’est pour brader les ressources du pays ou non. Il faudrait que les autorités chargées de la pêche expliquent sur quoi portent ces accords », a déclaré dimanche sur Iradio, le Professeur Ousmane Sène, ancien chef du département anglais de l’Université Cheik Anta Diop de Dakar.
Le Directeur du Centre de recherches Ouest-africain (WARC) se prononçait sur les dix mille licences accordées par an pendant 5 ans et du merlu 1750 tonnes, conformément aux termes des accords que le Sénégal aurait signés avec l’Union européenne.
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