Dans sa question économique du mardi reçu par Jotalixibar, Mamadou Lamine Diallo tire sur tous les présidents africains.
Le prédateur Alassane Ouattara, ami de Macky Sall, avait promis l’émergence à la Côte d’Ivoire en 2020. A la place, les Ivoiriens vivent les pénuries d’eau, d’électricité, et, dans l’insécurité. En forçant le troisième mandat, Alassane Ouattara prend le risque d’installer le chaos en Côte d’Ivoire.
Il y a quelques années, quand Eyadema père meurt au Togo, il avait été conseillé à Eyadema fils, Faure, qu’il n’avait rien à craindre pour s’accaparer du pouvoir ; s’il a de l’argent, une armée à sa solde et un parti politique. Le parti politique, c’est une organisation d’encadrement et de manipulation des populations piégées dans les trappes de pauvreté. C’est ce Faure Eyadema, dictateur en chef du Togo, qui est le sponsor du franco-togolais Kako Nubukpo, maitre à penser de certains réformateurs monétaires de la zone franc.
J’ai lu et relu l’urgence africaine de Kako ainsi que ses solutions sur la politique monétaire. Il n’y a rien de génial, rien de nouveau dans tout cela. A dire vrai, il n’y a rien d’anti-impérialiste à aller chercher dans les rencontres pseudo-monétaires du français Kako, binational tardif, nouveau commissaire du Togo à l’UEMOA.
S’agissant du financement des économies africaines, le monde de la finance mondiale rit sous cape devant les mille milliards de dollars qui dorment dans les banques étrangères et appartenant à des Africains.
Mamadou Lamine Diallo, Président du mouvement Tekki.
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