Mankeur Ndiaye n’est pas rassuré. L’ancien représentant spécial du Secrétaire général et chef de la Mission Multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation en République centrafricaine (Minusca) craint des risques de violence en perspective des élections législatives prévues le 31 juillet 2022.
«Avec ces clameurs qui résonnent de partout, il n’y a rien de bon en perspective. Asseyons-nous et discutons pour trouver des solutions politiques consensuelles et aller aux élections de manière inclusive », a-t-il déclaré dans les colonnes du journal Vox Populi.
Et l’ancien ministre des Affaires étrangères de lancer : « chers compatriotes, les élections n’ont de sens que si le pays existe», a-t-il lancé.
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