La Cédéao maintient ses sanctions contre le Mali et fixe un ultimatum à la Guinée et au Burkina Faso

(FILES) In this file photo taken on August 19, 2020 Colonel Assimi Goita speaks to the press at the Malian Ministry of Defence in Bamako, Mali, after confirming his position as the president of the National Committee for the Salvation of the People (CNSP). - Mali strongman Assimi Goita on May 25, 2021 forced out two transitional leaders who had been appointed following a coup in August 2020, and promised that elections would be held in 2022. In a statement read on public television, Goita said President Bah Ndaw and Prime Minister Moctar Ouane had been stripped of their duties for seeking to "sabotage" the transition, which would "proceed as normally, and the scheduled elections will be held in 2022." (Photo by ANNIE RISEMBERG / AFP)
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La communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cédéao), réunie vendredi 25 mars à Accra au Ghana, a annoncé le maintien des sanctions à l’encontre du Mali en raison du retard pris dans un retour des civils au pouvoir.

Selon Rfi, l’organisation a également décidé de sanctionner la Guinée si elle ne présentait pas de «calendrier acceptable pour la transition» avant fin avril 2022, et le Burkina Faso s’il ne libérait pas l’ancien président Roch Marc Christian Kaboré d’ici au 31 mars 2022, selon le communiqué final de la réunion des chefs d’États de la Cédéao.

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