El Hadj, toi le footeux, tu as driblé tout le monde comme dans un match de football
Avant-hier seulement, tu étais sur un terrain de football avant de répondre à l’appel du Créateur le lendemain
Mais, tu es parti bien trop tôt, et tu nous rappelles qu’ici-bas, notre vie est peu de chose.
Ton départ a été un électrochoc
Mais, Dieu qui a donné a repris
Que sa volonté soit faite !
Mais, je garderai pour toujours l’homme que tu as été sur terre que j’ai connu grâce à ta sœur Adji Mergane KANOUTE
Je suis très heureux d’avoir partagé avec toi une partie de ta vie dans le cadre professionnel.
Toi qui avais l’art de cultiver l’amitié et la générosité, la douceur, ta modestie, ta courtoisie…
La présence de tes collègues du Port autonome de Dakar (PAD) dont Aboubacar Sédikh BEYE, tes amis, tes parents, tes voisins de l’Unité 17 des Parcelles assainies et d’ailleurs, témoigne de l’homme que tu étais.
Ce que j’ai retenu ce vendredi avant ton départ vers Touba, la Sainte, où tu dois désormais reposer, c’est la présence de cette femme qui ne te connaît ni d’Adam ni d’Eve.
Suivant la voiture qui te transportait en sortant de la mosquée de l’Unité 17, elle dit : “je ne connais pas cet homme mais il doit être quelqu’un de bien. C’est pourquoi j’ai fait un crochet quand j’ai vu cette foule…”, dit cette jeune dame drapée d’un boubou traditionnel, cherchant à en savoir davantage sur toi.
Cette image en dit long sur toi, El Hadj
Je te serai éternellement reconnaissant !
Que Dieu, le Tout-puissant, t’accueille dans son paradis
Repose en PAIX, El Hadj !
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