Les suspicions sur la mort de l’élève sous-officier de police sont maintenant levées. Selon les résultats « Johnson Abdoul Kader est mort d’une cardiopathie hypertrophique discrète avec un foyer suspect de nécrose aigue du myocarde septal (…) par le contexte d’activités physiques d’une intensité habituelle ».

C’est du moins ce que confirme la contre-expertise, réclamée par la famille du défunt, effectuée par l’hôpital Idrissa Pouye de Grand Yoff.