«Personne ne m’empêchera de remplir ma mission. Le jour où je serai convaincu que j’ai atteint mon seuil d’incompétence, je partirai. Je partirai quand Dieu le décidera. Mais, pour le moment, je suis le responsable d’une embarcation qui a ses règles, son esprit et sa façon de gérer. Chacun est libre de critiquer, mais l’élégance voudrait qu’on débatte des problèmes au sein du CNG». Le patron du Comité national de gestion de la lutte était ce dimanche l’invité de l’émission Grand jury de la Rfm.
Très critiqué dans son milieu, Alioune Sarr confie, micro de Babacar Fall qu’il lave pas son linge sale en public. Et le médecin qui dit ne pas avoir des intérêts personnels pour la lutte, de soutenir qu’il n’a pas personnellement suspendu des arbitres. «Je n’ai pas suspendu les arbitres. Nous avons une Commission de règlement et discipline qui est indépendante dans ses décisions. Le bureau du Cng a été fusillé, alors que c’est ladite Commission qui a sanctionné les arbitres qui, eux-mêmes, sont membres dudit comité», explicite-t-il.
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