“Un mouvement n’a pas de compétence à décréter un deuil national. C’est le président de la République qui peut le faire, parce que c’est lui qui a l’autorité de mettre les drapeaux en berne. C’est lui qui dispose de la fonction publique, etc. Il (le M2D) peut, peut-être, appeler à une journée de prière, mais ne peut rien imposer au service public”, a fait savoir sur Iradio l’Envoyé spécial du président de la République.
Selon lui, “un deuil national est un symbole, parce qu’il peut durer un à trois jours”. Sur la même lancée, M. Dias, souligne que même si on n’en arrivera pas, ceux qui ne sont pas dans le sens du deuil pourraient être punis par la loi.
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