“Comment un citoyen placé sous contrôle judiciaire, un citoyen qui devait être aujourd’hui sous le coup d’un mandat de dépôt est laissé libre comme l’air, violent les règles éthiques et la sacralité de nos institutions principalement judiciaire à tel point qu’il est même le premier sénégalais à s’être déclaré candidat” se demande dans un communiqué, Hélène Françoise Gaye, présidente du collectif pour la défense des droits de Adji Sarr (CODDAS).
Elle estime que “pendant ce temps, sa présumée victime vit quasiment en réclusion du fait des menaces multiples proférées par les partisans de Ousmane Sonko”.
Pour Hellène Françoise Gaye, l’urgence aujourd’hui est la tenue du procès entre Adji Raby Sarr et Ousmane Sonko. “Nous pensons que les institutions et la République démontrent une faiblesse coupable, intolérable, exécrable pour le citoyen en général et qu’il est urgent de corriger cet état de fait afin que les Sénégalais reprennent confiance en la justice de notre pays”, explique Françoise Hélène Gaye.
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