Corona business : JAMRA soutient la plainte du club des avocats au Maroc

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Mercredi 1er avril 2020, 15h55, heure française, la chaîne de télévision LCI diffuse, en direct, une séquence digne de l’époque coloniale. Jean-Paul Mira, chef de service de réanimation à l’hôpital Cochin de Paris, s’adresse à Camille Cocht, directeur de recherche de l’INSERM (Institut national de santé et de la recherche médicale), en ces termes :

 «Si je peux être provocateur, est-ce que l’on ne devrait pas faire cette étude (sur le vaccin du COVID19) en Afrique où il n’y a pas de masques, pas de traitement, pas de réanimation ? Un peu comme c’était fait d’ailleurs pour certaines études, dont le Sida? Comme chez les prostituées, où on essayait des choses parce qu’on sait qu’elles sont hautement exposées et elles ne se protègent pas. Qu’en pensez-vous ?». Réponse de Camille Cocht : «Vous avez raison, une étude en Afrique, avec le même type d’approche est d’ailleurs en projet».

Ce dialogue surréaliste, digne des fanatiques du Front national français, ou des illuminés du Nazisme allemand, n’a curieusement suscité aucune réaction d’indignation sur le plateau. Même pas un froncement de sourcil. Voire une moue de dégoût. Rien. Mira et Cocht trouvent normal que les Africains servent de cobayes, de rats de laboratoire, aux lobbies pharmaceutiques Européens!

Le médecin suisse, Christian Tal Schaller, avait alerté depuis longtemps sur les velléités de mainmise des lobbies pharmaceutiques, et des puissances financières qui les accompagnent, sur cette «aubaine» que constitue cet pandémie du COVID19, pour faire fructifier indûment leurs chiffres d’affaires, à travers le CORONA-BUSINESS :

«C’est inhumain que des pédiatres se servent de la peur pour incruster le dogme de la «vaccinologie» dans les consciences. Nos enfants ne sont pas tant menacés par le COVID19 que par l’ajout d’additifs nocifs dans les vaccins, comme ces substances mortifères qu’on leur injecte. En particulier les métaux lourds, comme L’ALUMINIUM et le MERCURE; ou encore des morceaux de FOETUS humains».

La vaccinologie tous azimuts est une aberration. «Pourquoi vacciner un enfant contre La dyphtérie, qui n’existe plus? Pourquoi injecter à un enfant un vaccin contre l’hépatite B, qui est une maladie d’adulte», s’interrogeait naguère l’éminent infectiologue, le professeur Didier Raoult? Une leçon éminente nous en est aujourd’hui administrée par la Suède. Les enfants ne sont pas confinés. Ils se portent à merveille. Et continuent d’aller allègrement à l’école.

Cette doctrine de la vaccinologie, truffée de non-sens, se révèle de jour en jour comme «un dogme religieux, qu’on a réussi à imposer à nos consciences», s’insurge le médecin suisse Schaller. Et qui, bien que les vaccins soient d’une toxicité effroyable, n’en continue pas moins d’alimenter une méga-industrie pharmaceutique, qui brasse des milliards de chiffres d’affaires. Et qui n’a qu’un but: gagner le maximum d’argent au détriment de la Santé publique. Il y a beaucoup d’argent en jeu, c’est indéniable. Au fur et à mesure que les masses populaires prennent conscience de l’endoctrinement dont elles ont longuement fait l’objet, et expriment de plus en plus leurs volontés de se libérer du joug de la vaccinologie, les lobbies pharmaceutiques ne semblent plus dormir du sommeil du juste. Et commencent, à juste raison, à trembler dans leurs certitudes.

Cette aberrante décision de vouloir organiser des programmes massifs de vaccination auprès des populations africaines, alors que paradoxalement l’Occident et l’Orient, avec leurs dizaines de milliers de morts, sont dramatiquement plus impactés par le COVID19, montre à suffisance que l’empire vaccinale, dépourvue d’éthique, est quasiment en faillite. Que les masses énormes d’argent collectées, en semant la panique auprès des populations innocentes, et qui leur permettaient de contrôler les médias et les politiques, pourraient bientôt ne leur servir qu’à s’illustrer dans des œuvres caritatives, pour tenter de se donner bonne conscience auprès de ceux qu’ils exploitaient, sans foi ni loi, en les empoisonnant copieusement; les détruisant à petit feu. À défaut de pouvoir compromettre durablement leur vitalité démographique.

JAMRA approuve et soutient LA PLAINTE pour «diffamation raciale» qu’a décidé de déposer, auprès du Procureur de la République française, le «Club des Avocats au Maroc», suite aux propos condescendants, abjectes et racistes, prononcés sur la chaîne d’information française LCI, par le chef du service de réanimation de l’Hôpital Cochin à Paris, Jean-Paul Mira. Le conseiller juridique de l’ONG islamique JAMRA prendra incessamment l’attache de ses confrères marocains, du barreau de Casablanca, maitres Mourad Elajouti et Saïd Maâch.

«Essayez pour voir! Des occidentaux s’imaginent que de pauvres Africains seront les cobayes de l’humanité. Aucun laboratoire occidental n’empoisonnera les Africains. Les dirigeants africains qui autoriseront cela, doivent savoir, qu’à la tête des États, leurs jours seront comptés».(Claudy Siar, RFI).

Dakar, le 03 avril 2020
Les Bureaux exécutifs de
JAMRA & MBAÑ GACCE

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