“Ce budget s’inscrit dans la cohérence du Plan Sénégal Emergent, le PSE, mais un PSE ajusté et accéléré…Nos politiques ont été redimensionnés et nos priorités redéfinies. Le Sénégal est en train de se désendetter. Il n’existe aucun pays au monde qui arrive à financer à 100% son économie grâce à son budget”.
C’est du moins ce qu’a déclaré le ministre des Finances lors de la clôture de la session budgétaire. Abdoulaye Daouda Diallo a par ailleurs salué le travail des parlementaires.
Selon lui, ils se sont montrés à la mesure de leur rôle, critiques, mais sans excès, bienveillants, mais sans complaisance. “Majorité et opposition peuvent ne pas être d’accord sur les politiques à mener, mais je demeure persuadé que tout le monde dans cette salle , aime le Sénégal”, croit-il.
L’argentier a noté une hause de l’ensemble des trente trois (33) ministères, 132 programmes répartis en dix (10) dotations, une place exceptionnelle à la jeunesse.
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