La CEDEAO n’a pas tardé à réagir après le nouveau coup d’État perpétré au Burkina Faso. Dansnun communication l’institution sous régionale exige des nouveaux maîtres des putschs le respect scrupuleux du calendrier de transition, établi en collaboration avec l’ancien gouvernement de transition, pour un retour rapide à l’ordre constitutionnel au plus tard le 1er juillet 2024.
Au paravent la Cedeao a condamné avec la plus grande fermeté ce deuxième coup de force militaire en l’espace de huit mois.
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