Contrairement à certainement mauvaises langues, le ministre de l’Intérieur se veut formel. L’Etat n’a cédé à aucune pression, dans le cadre du desserrement de l’étau sur l’état d’urgence.
«On l’a programmé depuis le 11 mai suite à la déclaration du chef de l’Etat sur les mesures d’assouplissement. Donc ces mesures d’assouplissement concernaient tous les secteurs parce que le président de la République avait demandé la reprise d’activités économiques donc c’était graduel. La reprise des activités économiques avait justifié que d’ailleurs l’essentiel de toutes ces opérations qui ont eu lieu, ne sont pas des opérations venues spontanément. En fait, quid déjà de cette reprise des activités, samedi passé le Préfet avait signé des instructions à organiser une rencontre avec les différents restaurateurs, les barmen et autres pour voir comment on doit aller vers la reprise », a-t-il expliqué.
Et d’ajouter : «ceci a été programmé successivement et aujourd’hui, par rapport au rendez-vous, qu’on avait donné, le chef de l’Etat a demandé hier, à la suite du Conseil des ministres, qu’on puisse quand même faire ces aménagements ».
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