Après l’éclatement de l’affaire Adji Sarr-Ousmane Sonko, l’association des kinésithérapeutes et rééducateurs avait annoncé une plainte. Et voulait même se constituer partie civile dans ce dossier. Mais, aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Elle renonce à sa plainte.
« On était dans un contexte où il y avait trois aspects. Le premier opposait deux personnes pour accusation de viol ; le deuxième c’était l’accusation de pratique illégale de la profession de Kinés et le 3e élément, c’est l’ouverture d’un cabinet sans autorisation. Dans le contexte actuel qui concernait le procureur ou le juge, il s’est agi d’une accusation de viol entre deux personnes. Nous ne pouvons pas nous constituer partie civile… aussi les gens ne sont pas allés dans le sens de l’exercice illégal. Donc, nous ne pouvons que nous en arrêter-là jusqu’à ce que le procureur interpelle ces personnes (celle qui faisait le massage et la propriétaire du cabinet). Donc, nous ne pouvons pas nous constituer partie civile sur un dossier qui n’a pas été instruit », a dit ce vendredi Cheikh Seck, président de l’association.
Les kinésithérapeutes et rééducateurs sont en congrès à Saly Portudhal où ils ont égrené un chapelet de doléances.
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