Le Programme des domaines Agricoles Communautaire (PRODAC) a entamé un atelier de 5 jours pour passer en revue les grandes lignes de sa feuille de route pour les années à venir.
« Cet atelier est un moment crucial dans notre engagement commun pour réduire la précarité en milieu rural et promouvoir l’entreprenariat agricole des jeunes, tout en contribuant à l’atteinte de la souveraineté alimentaire de notre pays », a déclaré le président du Conseil de surveillance du PODAC, Abdou Samb.
S’exprimant à la cérémonie d’ouverture de l’atelier, M. Samb a fait savoir que les 5 jours de concertation, du 21 au 25 octobre, permettrons de « passer en revue les grandes lignes de notre feuille de route pour les années à venir, en y intégrant vos réflexions, propositions et recommandations ».
« Il s’agit d’une étape clé qui nous permettra de garantir que les orientations retenues soient à la hauteur des enjeux de développement rural et d’insertion des jeunes dans le secteur agricole », a soutenu le président du Conseil de surveillance du PRODAC.
M. Samb s’est réjoui de « [l]’engagement, [du] sens d’ouverture et [la] volonté du Docteur Cheikh Ahmadou Bamba NGOM, Coordonnateur national du PRODAC, pour les réformes initiées dans le but de rendre le PRODAC plus qu’opérationnel afin de répondre aux exigences de l’atteinte à la Souveraineté Alimentaire des autorités et des populations ».
Abdou Samb a également salué « l’engagement et la participation active de l’ensemble des acteurs ici présents, sans lesquels nos efforts pour transformer le monde rural, à travers les domaines agricoles communautaires, ne sauraient porter les fruits escomptés ».
Il espère également que cet atelier permettra « d’affiner notre vision et de renforcer notre stratégie en vue de faire du PRODAC un pilier incontournable dans la transformation de l’agriculture sénégalaise et dans la lutte pour l’autonomie alimentaire ».
M. Samb espère également que cet atelier permettra « d’affiner notre vision et de renforcer notre stratégie en vue de faire du PRODAC un pilier incontournable dans la transformation de l’agriculture sénégalaise et dans la lutte pour l’autonomie alimentaire ».
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